Dans l’univers du capital management, on entend souvent parler de hedge funds, sans vraiment en saisir le sens. Ce terme anglais signifie en réalité actifs alternatifs, mais pour une raison ou une autre, on a choisi de garder la notion hedge funds. Pour comprendre ce qu’on entend réellement par ce terme, il convient donc avant tout de comprendre ce qu’est un fonds alternatif.
De quoi s’agit-il ?
Comme énoncé plus haut, les hedge funds sont des fonds de placements qui pratiquent une gestion alternative. Ils se servent d’un effet de levier , comme le lbo définition , pour augmenter les rendements. Comparés aux fonds d’assurance ou aux fonds d’investissements, ils sont beaucoup moins réglementés. Les gestionnaires bénéficient donc d’une certaine liberté d’action en ce qui concerne les objectifs de placement.
Pour faire plus simple, les hedge funds sont des fonds alternatifs qui investissent eux-mêmes sur d’autres fonds du même type. Les actifs sont nombreux : monnaies, matières premières, œuvre d’art…
Les outils utilisés
Un gestionnaire de fonds alternatifs est en charge du hedge funds à Paris. Généralement, ce gestionnaire possède une part importante du fonds, car les hedge funds permettent de générer d’importants profits tout en leur faisant bénéficier d’une grande liberté. En effet, le but de cet investissement alternatif est d’obtenir un rendement positif, quelles que soient les conditions du marché.
Trois outils sont utilisés pour examiner l’évolution du marché :
- La vente à découvert : il s’agit de vendre un actif qui n’est pas détenu en propre pour pouvoir le racheter plus tard à prix réduit et le rendre à son réel détenteur. La vente à découvert est aussi appelée « short selling ».
- Les effets de levier : leur objectif est d’accroître une exposition à un titre. Ils assurent une liquidité supplémentaire et la démultiplication des gains. Ils sont mesurés en ratio (rapport entre somme investie et actifs sous contrôle).
- L’arbitrage : il s’agit de produits financiers qui sont à un prix différent de celui d’un actif qu’on appelle « actif sous-jacent ». L’arbitrage est donc un moyen d’exploiter les écarts de prix incompris.
Les avantages et les inconvénients
Le hedge funds possède l’avantage d’être rentable. Les investisseurs peuvent espérer obtenir jusqu’à 25% de rendement annuel. Par ailleurs, les gérants investissent souvent leurs propres fonds, ce qui signifie qu’ils y accorderont plus d’importance comparés aux autres fonds qu’ils gèrent. De plus, le fonds alternatif est un excellent outil – d’ailleurs renseignez-vous sur l’outil de collaboration sharepoint 365 – de diversification.
Le principal inconvénient de la gestion de fonds alternative est sans doute le caractère peu liquide du fonds. S’il est question de fonds traditionnel, les investisseurs peuvent récupérer de l’argent presque quotidiennement, mais dans le cas d’un hedge funds, ce ne sera possible que très rarement. En effet, ces types de fonds imposent des durées d’investissement minimales d’environ 3 ans. Les hedge sont certes attractifs, mais ils possèdent une part de risques importante dont il faut tenir compte. Les gérants à Paris vous l’expliquent déjà en amont. Voir le site www.seven-cm.com pour plus de détails.
A qui s’adressent-ils ?
Certes, les hedge funds demeurent attractifs en dépit des risques qui s’y rattachent. Toutefois, ils ne s’adressent pas au grand public, notamment parce qu’il faut faire un investissement minimum de 500 000$ au départ. En général, les investisseurs des fonds alternatifs sont les banques et institutions financières, les fonds de pension et les personnes particulièrement aisées.
D’ailleurs, en plus du fonds lui-même, l’investisseur doit également payer des frais de gestion qui s’élèvent à 1 à 3% du fonds. Il doit aussi supporter des frais liés à la performance qui sont à hauteur de 20%. De ce fait, la gestion de fonds alternative peut être très intéressante pour les gérants.